Sur les dunes brûlantes où tu marches toujours
Emportant, sur tes lèvres, le goût de mon prénom
Entends-tu, à nouveau, l'écho de mon amour
Que le vent te dépose sans demander ton nom?
Targui mystérieux au visage de sable
Je voudrais enlever tes rubans poussièreux
Pour deviner, enfin, ton chant insaisissable
Et voir jaillir l'eau claire à l'orée de tes yeux
Ton désert et le mien n'ont pas la même pluie
Mais il savent combler les mille et une nuits
Où nos rêves humides éveillent nos envies
Quand le grand astre d'or se retire et s'enfuit
Ne te retourne pas, avance droit devant
Va ceuillir, dès demain, le lotus des sables
Afin de le conduire sous le soleil levant
Dans le seul oasis où s'écrivent les fables
Emportant, sur tes lèvres, le goût de mon prénom
Entends-tu, à nouveau, l'écho de mon amour
Que le vent te dépose sans demander ton nom?
Targui mystérieux au visage de sable
Je voudrais enlever tes rubans poussièreux
Pour deviner, enfin, ton chant insaisissable
Et voir jaillir l'eau claire à l'orée de tes yeux
Ton désert et le mien n'ont pas la même pluie
Mais il savent combler les mille et une nuits
Où nos rêves humides éveillent nos envies
Quand le grand astre d'or se retire et s'enfuit
Ne te retourne pas, avance droit devant
Va ceuillir, dès demain, le lotus des sables
Afin de le conduire sous le soleil levant
Dans le seul oasis où s'écrivent les fables