Je voudrais voir ce doux visage
Dont je ne peux qu'imaginer
Les prémices de votre image
Que vous adorez nuancer
Croiser enfin votre sourire
Que mon rêve sait dessiner,
L'esquisse d'un éclat de rire
Dont l'écho pourrait me troubler
Je voudrais que votre regard
Se hasarde à me dévêtir
Et fasse glisser le foulard
Qui voile mon corps tout entier
Découvrir votre chevelure
Tombant au bas d'un joli cou
Comme une ondoyante parure
Qui sèmera, en moi, le flou
Ôtez ce blanc Borsalino
Qui entretient votre mystère
Et dissimule cet ego
D'un dandy venu d'une autre ère
Laissez-moi voir votre visage
Et vos traits de maturité
Qui garderont en leur sillage
L'ombre de ma fragilité
Dont je ne peux qu'imaginer
Les prémices de votre image
Que vous adorez nuancer
Croiser enfin votre sourire
Que mon rêve sait dessiner,
L'esquisse d'un éclat de rire
Dont l'écho pourrait me troubler
Je voudrais que votre regard
Se hasarde à me dévêtir
Et fasse glisser le foulard
Qui voile mon corps tout entier
Découvrir votre chevelure
Tombant au bas d'un joli cou
Comme une ondoyante parure
Qui sèmera, en moi, le flou
Ôtez ce blanc Borsalino
Qui entretient votre mystère
Et dissimule cet ego
D'un dandy venu d'une autre ère
Laissez-moi voir votre visage
Et vos traits de maturité
Qui garderont en leur sillage
L'ombre de ma fragilité
Et voilà que vous nous Re-Venez.......
RépondreSupprimerQui plus est pra la Grande Porte!!!!
Une jolie façon de revenir à l'écriture sur le fil d'un désir et l'esquisse d'un portrait.
RépondreSupprimerEC
Toujours un brin de mystère, une forme d'envoûtement par le verbe.
RépondreSupprimerM.