Au devant des fenêtres, tombent de longs rideaux
Dont le rose pâli et les mailles légères
Laissent passer sans bruit la lueur des saisons
Et donnent l'embellie à mes matins brumeux
Souvent, je m'y enroule, le corps tout dénudé
Pour ressembler aux filles des contes de Perrault
Ces princesses qui dorment dans d'étranges forêts
En attendant un prince si beau et si charmant
Je voudrais mon amour que, dès demain, tu viennes
Me rejoindre à l'hôtel dans cette rue de Vienne
Pour que nous y valsions et, ce, quoi qu'il advienne
Et qu'à jamais, de nous, toujours tu te souviennes
Je n'ai pas oublié les sentiers sinueux
Du jardin du Luxembourg dont les statues riaient
De nous voir dessiner nos rêves sur le vent
Quand nous nous embrassions sous un très vieux tilleul
Je me souviens aussi de la baie de Cabourg
Et de sa lune rousse aux yeux de caramel
Qui étendait, sur nous, son voile d'or et d'argent
Quand nous nous enlacions sur un long banc de bois
Je ne peux oublier cette digue d'Ostende
Quand nous bravions la pluie au ryhtme des marées
Dont l'écho nous rendait insoucients et heureux
D'avoir été, ce jour, un peu plus infidèles
Je voudrais mon amour que, dès demain, tu viennes
Me rejoindre à l'hôtel dans cette rue de Vienne
Pour que nous y valsions et, ce, quoi qu'il advienne
Et qu'à jamais, de nous, toujours tu te souviennes
Dont le rose pâli et les mailles légères
Laissent passer sans bruit la lueur des saisons
Et donnent l'embellie à mes matins brumeux
Souvent, je m'y enroule, le corps tout dénudé
Pour ressembler aux filles des contes de Perrault
Ces princesses qui dorment dans d'étranges forêts
En attendant un prince si beau et si charmant
Je voudrais mon amour que, dès demain, tu viennes
Me rejoindre à l'hôtel dans cette rue de Vienne
Pour que nous y valsions et, ce, quoi qu'il advienne
Et qu'à jamais, de nous, toujours tu te souviennes
Je n'ai pas oublié les sentiers sinueux
Du jardin du Luxembourg dont les statues riaient
De nous voir dessiner nos rêves sur le vent
Quand nous nous embrassions sous un très vieux tilleul
Je me souviens aussi de la baie de Cabourg
Et de sa lune rousse aux yeux de caramel
Qui étendait, sur nous, son voile d'or et d'argent
Quand nous nous enlacions sur un long banc de bois
Je ne peux oublier cette digue d'Ostende
Quand nous bravions la pluie au ryhtme des marées
Dont l'écho nous rendait insoucients et heureux
D'avoir été, ce jour, un peu plus infidèles
Je voudrais mon amour que, dès demain, tu viennes
Me rejoindre à l'hôtel dans cette rue de Vienne
Pour que nous y valsions et, ce, quoi qu'il advienne
Et qu'à jamais, de nous, toujours tu te souviennes
Saisissant !
RépondreSupprimerEt plein de sens !
Toujours à toi, chère Lotus...
Emrys
Sourire à toi Emrys...
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