Sur le pôle de tes nuits
Se faufile une étoile
Sous les toits de Paris
Elle tisse un peu sa toile
Sur le pont de tes rêves
Se pavane une femme
Un vent chaud la soulève
Au-delà de ton âme
Un nuage en alcôve
Fait de l’ombre à ton ange
Qui sentait la guimauve
Et les zestes d’orange
Sur ses bras ruisselaient
Dans un doux clapotis
Un flot de bracelets
D’or et d’argent sertis
Dans un croissant de lune
Ta belle est endormie
Il pleut sur la lagune
Les sanglots de sa vie
Tu récoltes l’ondée
Au fond d’un coquillage
Et la pâleur ambrée
De son beau maquillage
De ta douce gitane
Il reste l’interdit
La blancheur diaphane
Si belle à l’infini
Se faufile une étoile
Sous les toits de Paris
Elle tisse un peu sa toile
Sur le pont de tes rêves
Se pavane une femme
Un vent chaud la soulève
Au-delà de ton âme
Un nuage en alcôve
Fait de l’ombre à ton ange
Qui sentait la guimauve
Et les zestes d’orange
Sur ses bras ruisselaient
Dans un doux clapotis
Un flot de bracelets
D’or et d’argent sertis
Dans un croissant de lune
Ta belle est endormie
Il pleut sur la lagune
Les sanglots de sa vie
Tu récoltes l’ondée
Au fond d’un coquillage
Et la pâleur ambrée
De son beau maquillage
De ta douce gitane
Il reste l’interdit
La blancheur diaphane
Si belle à l’infini
Salut amie belge et merci du partage. C’est tout à fait par hasard, au gré de mes explorations des blogs, que j’ai atterri ici.
RépondreSupprimerC’est Intéressant de lire tes poèmes. Bravo! (Môa être plutôt philosophique).
NOTE. Mon blog parle de la connaissance de soi. Si le coeur t'en dit, tu es bienvenue.
Un joli portrait de femme et une illustration magnifique.
RépondreSupprimer...
un beau poème aux accents mélancoliques et une très belle illustration
RépondreSupprimerThéo
C'est un plaisir de découvrir ce poème dans sa version "inversée". Je ne savais pas qu'il existait aussi sous cette forme.
RépondreSupprimerBelles images et belles sonorités.
Stéphane