Aux portes des églises
Les amants endeuillés
Portent sous leurs chemises
Tant d’amour oublié
Qu’un cercueil d’ébène
Va mener au tombeau
Brisant toutes les chaînes
De sanglots en lambeaux
L’amante en son mouchoir
Camoufle en vain la peine
De ne plus s ‘émouvoir
Du doux chant des sirènes
L’amant de ses yeux noirs
Pleure sans faire de bruit
L’âme grise, l’âme noire
Qu’il porte encore en lui
La pluie sur les vitraux
S’abat comme deux cœurs
Qu’un duo de corbeaux
Assassine dans l’heure
Il n’y a plus d’espace
Plus de temps, plus de trace
Du passé d’un présent
Dont tous les deux se lassent
Le glas de leur union
Fait pleurer le clocher
Qui dénie l’abandon
De leur envie d’aimer
Leurs mains entrelacées
Retiennent entre leurs doigts
L’anneau d’or des fées
L’illusion d’autrefois
L’écho d’un carillon
S’entendra jusqu’aux cieux
Quand le temps du pardon
Annoncera l’heure bleue
Le beau son d’une lyre
Dans l’hiver endormi
Guidera l’oiseau-lyre
Au sommet de l’oubli
Les amants endeuillés
Portent sous leurs chemises
Tant d’amour oublié
Qu’un cercueil d’ébène
Va mener au tombeau
Brisant toutes les chaînes
De sanglots en lambeaux
L’amante en son mouchoir
Camoufle en vain la peine
De ne plus s ‘émouvoir
Du doux chant des sirènes
L’amant de ses yeux noirs
Pleure sans faire de bruit
L’âme grise, l’âme noire
Qu’il porte encore en lui
La pluie sur les vitraux
S’abat comme deux cœurs
Qu’un duo de corbeaux
Assassine dans l’heure
Il n’y a plus d’espace
Plus de temps, plus de trace
Du passé d’un présent
Dont tous les deux se lassent
Le glas de leur union
Fait pleurer le clocher
Qui dénie l’abandon
De leur envie d’aimer
Leurs mains entrelacées
Retiennent entre leurs doigts
L’anneau d’or des fées
L’illusion d’autrefois
L’écho d’un carillon
S’entendra jusqu’aux cieux
Quand le temps du pardon
Annoncera l’heure bleue
Le beau son d’une lyre
Dans l’hiver endormi
Guidera l’oiseau-lyre
Au sommet de l’oubli
La poésie à aucun moment ne s'essouffle, elle va même crescendo.
RépondreSupprimerJ'aime cette image de l'amour troisième entité du couple.
J'aime encore plus, l'acceptation dénuée de haine, qui se tranforme en créativité.
Persephone
Je découvre une très belle plume.
RépondreSupprimerUn poème au goût de tristesse mais si bien écrit!
C'est excellent
Bonne continuation
Amicalement
CAMELEON
Magnifique poème!
RépondreSupprimerC'est une belle idée cette image de l'amour qui "s'éteint" comme un" être"que l'on conduit au tombeau.Un grand sentiment de nostalgie dans tout le poème mais, au final, un espoir qui renaît et redonne souffle aux amants.
Et si lotus voulait nous faire comprendre que, selon elle, l'amour ne meurt jamais?
Je pense que c'est réellement ce qui se cache entre les lignes.
Belle illustration, comme toujours, choisie avec soin.
Bravo!
...
Merci ma chère lotus , pour cet écho porté ici à mes vers.
RépondreSupprimerEnore une fois, vous en êtes la meilleure ambassadrice.
Mais vous savez aussi que je ne demande rien que je ne puisse redonner.
Emrys
Emrys,c'est trop d'honneur,vraiment.
RépondreSupprimerJamais, vous ne demandez, vous êtes un "donneur" et moi, je suis heureuse de recevoir de vous.
Lotus
un poème empreint d'une belle mélancolie...
RépondreSupprimerun amour qui se meurt mais qu'un rien peu rallumer....
et puis le pardon est là pas très loin...sans doute à préférer à l'oubli...
Théo !
RépondreSupprimerEcris-nous de ces lignes dans tu as le don
parle-nous des amants du pardon
E.
Bonjour
RépondreSupprimeron dirait que vous vous êtes fait piqué ce poème par une certaine soledade88 ! elle en revendique la paternité en plus ! à moins que ce ne soit vous avec un autre pseudo , dans ce cas , excusez-moi de vous avoir prévenu !
Bonjour Anonyme,
RépondreSupprimermerci de m'avoir prévenue.
Veuillez me contacter en perso à cette adresse:lotusdessables@hotmail.com
Ce même texte est encore plagié ailleurs.L'affaire est en cours.
J'attends de vos nouvelles.Merci encore.
Lotus
j'imagine que vous êtes parfumdacacias ! et cricri ! je fais des recherches de plagiaire en tant que modérateur sur un site de Poésie que je ne siterai pas. et donc je resterai anonyme, j'espère que vous me comprendrez dans ma démarche ! j'ai vu que la fameuse soledade88 vous avait mis un com sur un de vos blogs, c'est donc là qu'elle a volé votre poème ! surtout ne tentez rien contre elle, vous allez devant d'énormes embêtements !
RépondreSupprimeramitié
Votre démarche est ridicule.Faire des recherches de plagiat dans l'anonymat relève de la bêtise.
RépondreSupprimerTous mes textes sont protégés par la Sabam(société des droits d'auteurs).Ce n'est donc pas moi qui vais avoir des embêtements.Faudrait vous mettre au courant des lois.
Et je ne vois nulle part où cette personne s'est appropriée ce texte.
merci pour ce joli commentaire de votre part, l'anonymat est un mal nécessaire ! qd on vous aura menacé de mort pour avoir fait votre de travail de modérateur, vous y réfléchissez deux fois avant de mettre votre nom ! cette personne, justement a retiré votre poème, certainement du fait de ma démarche, peu importe, il est toujours dans le cache de google. dernière chose, si je vous ai mise en garde, c'est que cette personne n'a que faire des lois dont vous parlez et est une personne dont la dangerosité n'a d'égale que sa bêtise ! je vois que je vous ai dérangée, pardon d'avoir fait mon travail !
RépondreSupprimerCe poème a été plagié par "larmesamères" sur "creapoemes".Elle a été contactée par moi ainsi que le webmaster du site à qui j'ai posté un courrier.Oniris, site où je suis membre, en a été averti aussi.
RépondreSupprimerJ'ignore qui est Soledade88 et je n'ai trouvé aucune trace de ce que vous me dites.
Je ne vois pas en quoi m'écrire en perso vous met en danger.
Vous êtes modérateur sur un site où je ne suis pas ???Pour le moins curieux ça de faire des recherches sur mes textes et en particulier celui-là.Surtout que ce n'est pas la première fois que mes textes sont plagiés.
car larmesamères est Soledade ! et qu'elle possède aussi des dizaines d'autres pseudos !
RépondreSupprimeret que donc, pardonnez-moi, mais vous auriez pu en être !
et non, je n'ai pas fait de recherche sur vous en particulier mais sur elle, et c'est ce plagiat qui m'a mené à vous !
et pourquoi ce poème-là me direz-vous ? parce que soledade n'est pas une plagiaire d'habitude ! c'est même la première fois qu'elle semble plagier !
ça fait un an qu'elle nous ennuie profondémment sur notre site avec ses multiples pseudos ! je ne peux pas rentrer ds les détails plus sordides les uns que les autres, désolé !
Je comprends mais pourriez-vous me donner d'autres infos non sur ce blog mais en privé à cette adresse:lotusdessables@hotmail.com.
RépondreSupprimerMerci de m'avoir prévenue.
Lotus