On la voit danser dès l’aurore
Entre les ronces et les genêts
Quand les lys humides encore
S’offrent à ses doigts par bouquets
Légère comme une vaguelette
Elle ondule sous les sapins
Le chant léger des alouettes
Fait une aubade à son destin
Le vent dans sa langue muette
Fait tournoyer sa chevelure
Qu’une pluie parfois aigrelette
Agrémente d’un doux murmure
De tous les hivers en partance
Elle a la grâce et la beauté
Et le brin de son élégance
Fleurit au coeur de sa bonté
Son regard vif, son œil brillant
Plongent au milieu des jalousies
Toutes les princesses d'antan
Entre les ronces et les genêts
Quand les lys humides encore
S’offrent à ses doigts par bouquets
Légère comme une vaguelette
Elle ondule sous les sapins
Le chant léger des alouettes
Fait une aubade à son destin
Le vent dans sa langue muette
Fait tournoyer sa chevelure
Qu’une pluie parfois aigrelette
Agrémente d’un doux murmure
De tous les hivers en partance
Elle a la grâce et la beauté
Et le brin de son élégance
Fleurit au coeur de sa bonté
Son regard vif, son œil brillant
Plongent au milieu des jalousies
Toutes les princesses d'antan
et les louves d’Abyssinie
Ambrosia vit dans la clairière
Où pousse aux revers des saisons
Sur le bord d’une jarretière
Un amour piqué de chardons
De tout ce qui la désattelle
De la fausse trame du temps
Elle fait des rires en dentelle
Qu’elle coud au pli de son tourment
Du plus élégant carabin
Au fier et beau ménétrier
Chacun vient convoiter sa main
Mais elle ne veut se marier
Elle n’a d’yeux que pour un berger
Qui aime et rit dans le silence
D’un mistral qui sait apaiser
Tous les sévices de l’absence
Sa bouche a le rouge des roses
Ouvertes aux matins de rosée
Qu’il sait embrasser de sa prose
Et de la poésie d’Orphée
Ambrosia ne fut qu’un mirage
Le tout petit bout d’une histoire
Qui se défait comme un nuage
Et puis s'endort dans un grimoire
Ambrosia vit dans la clairière
Où pousse aux revers des saisons
Sur le bord d’une jarretière
Un amour piqué de chardons
De tout ce qui la désattelle
De la fausse trame du temps
Elle fait des rires en dentelle
Qu’elle coud au pli de son tourment
Du plus élégant carabin
Au fier et beau ménétrier
Chacun vient convoiter sa main
Mais elle ne veut se marier
Elle n’a d’yeux que pour un berger
Qui aime et rit dans le silence
D’un mistral qui sait apaiser
Tous les sévices de l’absence
Sa bouche a le rouge des roses
Ouvertes aux matins de rosée
Qu’il sait embrasser de sa prose
Et de la poésie d’Orphée
Ambrosia ne fut qu’un mirage
Le tout petit bout d’une histoire
Qui se défait comme un nuage
Et puis s'endort dans un grimoire
...à celui qui a écrit pour elle...
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RépondreSupprimerBanal et anonyme
RépondreSupprimerje dépose quelques mots dans votre jardin
Donnez-moi votre main, venez danser ma belle
nous avons une nuit pour perdre la raison,
s'égarer en chemin, cueillir des mirabelles
à l'arbre d'une vie sans hiver sans saison.
Je dépose mon cœur, le chant de sa cadence,
entre vos fleurs, voyez mes roses sont écloses
et mes lys en vainqueur flottent en abondance
dans le vent d'un été quand votre pas s'y pose
E.
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RépondreSupprimerOn n'est pas très loin de la perfection... Que je suis fier de vous connaître madame !!!
RépondreSupprimerMarc
E.,
RépondreSupprimervous êtes ici chez vous et, pour moi, vous n'êtes jamais banal et jamais anonyme, vous êtes celui qui sait...
lotus