Comme on voit le soleil, au beau lever du jour
En son premier éclat, en son premier sourire,
Rendre grâce à la nuit de n’être qu’un saphir
Quand la rosée revêt la fleur d’un discours
L’oiseau, dans son sillage, s’envole vers Cabourg
Taquinant les abeilles sous leur masque de cire
Mais, pris dans les orages qui volent son soupir,
Fatigué, il se donne aux affres de l’amour.
Ainsi, en son voyage, escorté par le vent,
Il cède aux grands ravages de ce curieux tourment
Et s’endort sur la rive sans craindre les vautours.
Dors bien, mon bel oiseau, je sais que tu respires
L’été revient bientôt avec son doux Zéphyr
Pour t’emporter, là-haut, au somment de sa tour.
En son premier éclat, en son premier sourire,
Rendre grâce à la nuit de n’être qu’un saphir
Quand la rosée revêt la fleur d’un discours
L’oiseau, dans son sillage, s’envole vers Cabourg
Taquinant les abeilles sous leur masque de cire
Mais, pris dans les orages qui volent son soupir,
Fatigué, il se donne aux affres de l’amour.
Ainsi, en son voyage, escorté par le vent,
Il cède aux grands ravages de ce curieux tourment
Et s’endort sur la rive sans craindre les vautours.
Dors bien, mon bel oiseau, je sais que tu respires
L’été revient bientôt avec son doux Zéphyr
Pour t’emporter, là-haut, au somment de sa tour.
Dors bien, mon bel oiseau, je sais que tu respires...
RépondreSupprimerTout est dit dans ce vers d'une si grande douceur.
Merci Lotus
un peu d'apaisement
RépondreSupprimerun peu d'espoir surtout
que ce printemps qui revient apporte joies et lumières sur nos terres
Théo
Encore une fois un très joli poème plein de fraicheur, et avec un soupçon de mélancolie.
RépondreSupprimerFélicitations Lotus.
Dyonisos