Cher amant,
En cédant à vos envies
Chaque fois que la nuit m’étreint
Vous buvez jusqu’à la lie
La sueur perlée de mes seins
Je sens palpiter vos doigts
Comme des cœurs en éclosion
Que caresse cette soie
Encerclant mes doux mamelons
Très friand de suc ambré
Vous apprivoisez ma bouche
Où vous attend le baiser
Qui nous mène vers la couche
L'âme toujours errante
En cédant à vos envies
Chaque fois que la nuit m’étreint
Vous buvez jusqu’à la lie
La sueur perlée de mes seins
Je sens palpiter vos doigts
Comme des cœurs en éclosion
Que caresse cette soie
Encerclant mes doux mamelons
Très friand de suc ambré
Vous apprivoisez ma bouche
Où vous attend le baiser
Qui nous mène vers la couche
L'âme toujours errante
M'offrant à vous sans concession
J’en deviens frissonnante
Quand vous retroussez mes jupons
A vos yeux d’or et d’argent
S’ouvre la faille du péché
Puis, s’enfonce le sarment
Qui fait pleurer les alizés
Sous votre force tranquille
Je capture les lionceaux
Qui s’abreuvent dans mon île
Où s’éveillent tous les puceaux
Enfin, nos corps en fusion
Chauffent le sang bleu de Satan
Qui d’une génuflexion
Se convertit aux deux amants
Si je crains tant nos époux
Je sais amour que je ne peux
Un jour me passer de vous
Je n’écouterai pas les Dieux
Je devine cette ardeur
Qu’éveillera, en vous, ce pli
Ignorons donc la tiédeur
Et rejoignons nous cette nuit
Au premier chant du hibou
Venez m’attendre à la clairière
Sous la complainte des loups
Faisons l’amour dans la bruyère
J’en deviens frissonnante
Quand vous retroussez mes jupons
A vos yeux d’or et d’argent
S’ouvre la faille du péché
Puis, s’enfonce le sarment
Qui fait pleurer les alizés
Sous votre force tranquille
Je capture les lionceaux
Qui s’abreuvent dans mon île
Où s’éveillent tous les puceaux
Enfin, nos corps en fusion
Chauffent le sang bleu de Satan
Qui d’une génuflexion
Se convertit aux deux amants
Si je crains tant nos époux
Je sais amour que je ne peux
Un jour me passer de vous
Je n’écouterai pas les Dieux
Je devine cette ardeur
Qu’éveillera, en vous, ce pli
Ignorons donc la tiédeur
Et rejoignons nous cette nuit
Au premier chant du hibou
Venez m’attendre à la clairière
Sous la complainte des loups
Faisons l’amour dans la bruyère
Lady A
Comme un petit parfum de Sand et de Musset...
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup Lotus, quand tu trousses tes pages et nous laisses entrevoir de doux libertinages...
François
Beaucoup de sensualité dans ce poème...
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup apprécié.
xuanvincent
un beau rendez vous en perspective lotus..et toujours cette belle sensualité
RépondreSupprimerje t'embrasse
Théo
*sourire*
RépondreSupprimersigné Lady A ??
pour moi ça a du sens
je salue donc Lady A :D