En son rêve d’argile, s’émiette un sourire
Que les oiseaux picorent sur le lit d’une ride
Offrant leurs gazouillis à son minois candide
Qu’une montée de sang fait lentement rougir.
Au bleu de méthylène des yeux de son amant,
L’amoureuse se noie à moitié dévêtue
Quand la cyprine d’or, trop longtemps retenue,
Vient troubler le plongeon de ce grand requin blanc.
En robe de mariée, coiffée d’un diadème,
Debout devant l’autel des plaisirs parallèles,
Elle savoure un orgasme et l’astre devient blême.
Si, de la coupe aux lèvres, il n’y a qu’un blasphème,
Que les anges déchus viennent mouiller leurs ailes
Afin de s’enivrer de ce péché suprême.
Que les oiseaux picorent sur le lit d’une ride
Offrant leurs gazouillis à son minois candide
Qu’une montée de sang fait lentement rougir.
Au bleu de méthylène des yeux de son amant,
L’amoureuse se noie à moitié dévêtue
Quand la cyprine d’or, trop longtemps retenue,
Vient troubler le plongeon de ce grand requin blanc.
En robe de mariée, coiffée d’un diadème,
Debout devant l’autel des plaisirs parallèles,
Elle savoure un orgasme et l’astre devient blême.
Si, de la coupe aux lèvres, il n’y a qu’un blasphème,
Que les anges déchus viennent mouiller leurs ailes
Afin de s’enivrer de ce péché suprême.
De mon rêve agile, vient s'absoudre un sourire
RépondreSupprimerQue mes lèvres picorent sur le pas sensible
Qui offre son gazouillis à ton désir sans ride
Qu'une montée de sang fait promptement rougir
Au bleu de méthylène de tes yeux d'amant
Amoureuse je me noie à demi-dévêtue
Ma cyprine d'attente vers toi pré-tendue
Se prolonge du plongeon que de toi j'attends
En robe d'appariée, coiffée d’un diadème,
Debout devant toi, des plaisirs prête à l'aile,
Je savoure l'orgasme que l’astre de nous frémit,
Si, de la coupe aux lèvres, il n’y a qu’un blasphème,
Que les anges déchus viennent mouiller leurs ailes
Afin de nous enivrer de ce péché insoumis.
"Kristaristeau"
oh pas de péché Lotus...un calice de délice...à boire sans retenue
RépondreSupprimerbelle lecture
Théo